Nom : Myers
Prénom : Benjamin
Nom de code : Kokoro no Hakka (ce qui est une traduction approximative de mon pseudo habituel, FireSpirit (lui-même traduction approximative du nom Fëanor issu de l'œuvre de Tolkien), l'esprit enflammé, donc, rapport au caractère du personnage. (cf. plus bas). Plus simplement Hakka... Appelé en général par son vrai nom.
Âge : 16 ans et demi.
Rôle/Emploi : Aucun
Vit-il au dojo ? Ailleurs ? : Au dojo
Si ailleurs, précisez où. nan
Point de vue de votre personnage sur Ogata : Merci pour son hospitalité
Son arme de prédilection : Couteau, et corps à corps en général
Utilise-t-il la magie ? La magie, kekseksa ?
Histoire personnelle : William Myers, Senior, était un bourgeois anglais, de la haute société anglaise. Dans les années 70, il émigra avec sa femme, son fils unique de 25 ans, George, et la fiancée du fils, Mary, au Japon. Raisons financières, disait-il. La raison, c'était que sa banque l'avait informé que les chiffres étaient en baisse ; il avait donc pris toutes ses affaires, et tout son argent, pour aller investir au Japon, dont l'économie, avant de faire faillite et d'être poursuivi pour toutes les fraudes commises. Mais malgré cela, il restait très anglais, et ne voulait avoir avec le Japon des relations uniquement économiques - son fils le suivait en cela. Quelques années plus tard, Mary mettait au monde William Myers, Junior, et le cadet Benjamin Myers deux ans plus tard. Mais si William Junior ressemblait en tous points à son grand-père et homonyme, Benjamin, lui, ne voulait rien avoir à voir avec l'Angleterre que les liens familiaux. Il avait été élevé au Japon, ses amis étaient japonais, son éducation japonaise. Même son physique tenait plus du japonais... Mais son enfance fut placée sous le signe de l'obéissance. Il était docile envers ses parents, ce qui changea radicalement au début de sa crise d'adolescence, vers 14 ans. Il voulait continuer à être japonais, et ne voulait pas entrer à l'université d'Oxford comme son grand-père le voulait. Ses études se feraient a Japon, à Kyoto de préférence puisque c'était là qu'il avait grandi. Les relations se tendirent donc. Mais son unique soutien se trouvait avec ses amis, et ceux-là le trouvaient trop violent, et commençaient à s'écarter de lui, discrètement d'abord. Et effectivement, la veille de ses 15 ans, quand le frère rentra avec les nouvelles qu'il était admissible à Oxford, le ton important, et condescendent envers Benjamin, il eut une montée de rage. Il saisit un couteau de cuisine et se jeta sur son frère. Mais étant encore un gringalet, alors que William faisait le double de sa taille, il fut vite maîtrisé, n'ayant en dohors de ça, aucune expérience. Alors William jura sa vengeance. Il n'en dit rien aux parents, mais s'évertua à faire craquer moralement son frère. Il ne lui servait jamais que du thé anglais, il mettait des volumes de Shakespeare et de Poe dans son sac de cours, parlait de Henry VIII avec grandeur, crachait sur Nobonaga Oda, écorchait volontairement le nom de l'empereur... Entretemps, ses amis s'étaient définitivement écartés de lui. Il était seul. Benjamin n'en pouvait plus. Un an plus tard, le jour de l'anniversaire de William, qui avait alors 18 ans, il jeta le pudding à terre, et courut dans sa chambre, dans laquelle il s'enferma à double tour, ayant au préalable mis un poing sur le nez de son frère, et bousillé ses phalanges. La nuit venue, il avait pris sa décision. Alors que tout le monde était allé dormir, il se glissa hors de son lit, discrètement dans la cuisine, il prit le couteau de cuisine, puis sans faire de bruit, il se faufila dans la chambre de son frère, et l'égorgea sans remords, et sans aucun bruit. Personne ne s'était douté de rien. Alors il se dirigea vers le coffre-fort, composa le code qu'il avait appris de son grand-père, trop indiscret, prit autant d'argent que son sac à dos où il avait mis ses affaires - habits, objets personnels, et bien sur le couteau de cuisine, tâché de sang, qui lui était devenu cher - pouvait en contenir. Et, sans se retourner, dans la nuit, il partit. Conscient qu'il serait très vite recherché, il partit pour un autre quartier, à l'opposé de la ville, et commença à errer. Peu de temps avant l'aube, cette même nuit, il entendit un cri. Se dirigeant vers la source du bruit, ce qu'il vit d'abord le stupéfia. Un figure ombrée venait de tuer une personne, et s'apprêtait à tuer la femme qui avait crié, mais ce qui l'impressiona plus était la façon dont le travail était fait : avec méthode, soigneusement. Alors, avant que l'autre ne le repère, tandis que la femme tombait lentement su le goudron, il l'interpela. La réaction fut immédiate : il esquiva de très près une lame qui lui aurait transpercé le cœur. Une autre vola, qu'il esquiva avec plus d'aisance, n'étant plus surpris ; mais il ne pourrait pas longtemps contenir les assauts de l'assassin, alors il prit les devants, et parla vite : "Excusezmoijesuisintéresséparvostalentspourriezvousm'indiqueroùilestpossibled'apprendre ?" Tout en disant ça, il avait reculé de plusieurs pas, une expression de peur sur le visage. Mais l'autre s'arrêta net, et après plusieurs secondes, il dit "Viens". Benjamin fut alors très surpris : c'était une voix féminine qui avat parlé. Il s'avança lentement, prudemment, subodorant un piège ; mais elle dit "Plus vite !". Alors, d'un pas plus sûr, il s'avança ; perdu pour perdu, il était déjà recherché. Il s'approcha finalement plus franchement, et, s'attendant à une autre parole, tout ce qu'il reçut fut un grand coup sur la tête. Il perdit connaissance, et ne se souvint de rien, si ce n'est d'un réveil douloureux dans un appartement qu'il ne connaissait pas...
Caractère : Une humeur très variable. S'énerve pour un rien, mais est prompt au rire. Plutôt laconique au naturel, il peut devenir assez bavard si on le lui permet. Ses amis disaient de lui qu'il avait l'air d'un psychopathe, et à force de jouer leur jeu, en plus de son caractère d'un naturel violent, il est devenu très imprévisible, et presque vraiment ce qu'on appelle un psychopathe. Depuis que ses amis l'ont lâché, il est plutôt solitaire, ne recherche pas forcément la compagnie. Il préférera toujours se consacrer à lui-même, mais n'est pas ingrat pour autant.
(j'espère que j'ai pas fait trop long pour le background ^^')
Physique : Pour les traits principaux du visage, voyez mon avatar : cheveux noirs, lisses, mi-longs, peau très pâle. Les yeux sont noirs. C'est un gringalet, pas franchement très grand et assez maigre. Le regard est tantôt furtif et craintif, tantôt las et profond, toujours noir. Le sourire... Que dire de ce sourire ? (j'en connais une qui dirait assez sommairement : "psychopathe !!") Un sourire franc, bien que pas joyeux du tout, qui n'atteint jamais les yeux, dévoilant les dents du dessus, jaunes.