[Mission] Les enfants de Boss Hosuko -partie 2

C’était une belle journée dehors, mais Saori avait décidé de s’enfermer dans le centre-commercial de la ville pour retrouver son petit ami.

Celui-là même que son père trouvait suspect. Mais son père était un vieux ringard, tout ce qui n’était pas de sa génération ne lui plaisait pas, de toute façon. Comment dans ce cas pouvait-il apprécier Tora ?

C’était un garçon charmant, elle l’avait rencontré dans une salle d’arcade où elle sortait avec quelques amies, utilisant pour l’occasion la carte de crédit de son paternel. Bien entendu, au début, elle l’avait trouvé un peu âgé, un peu étrange aussi, comme s’il forçait ses sourires.

Et oui, bien sûr, il portait toujours un couteau à cran d’arrêt sur lui.

Mais elle ne l’avait pas dit à son père, ça, il serait tout de suite monté sur ses grands chevaux, prétextant que quiconque portait un cran d’arrêt était forcément quelqu’un d’une autre ‘famille’ qui cherchait à attenter à sa vie. Il disait aussi que Saori était trop naïve.

Et effectivement, elle l’était.

Quoiqu’il en soit, Saori, quand elle aperçu Tora, se jeta dans ses bras. Main dans la main, ils commencèrent à se promener dans les boutiques.

Sans se doute pour le moins du monde que quelqu’un allait bientôt les suivre comme leur ombre.

Hank était déçu que ce ne soit pas une mission d'assassinat, cela aurait sans doute été plus facile pour lui qu'une mission de filature,surtout qu'il devra récuperer des information...
Il s'était équiper léger...grenade aveuglante,grenade fumigène,Berreta avec canon silencieux et visé laser.Il était hors de question pour lui de sortir sans armes.
Il s'était accoutrer d'un pantalon large en toile noir une grande veste noir un bonnet de la même couleur cachait ses yeux.
Il avait préférer passer par l'entrée de service, car si il passait aux détecteurs de métaux s'était foutu pour lui.
Il arriva dans la grande place principale du centre commerciale,il avait la photo de la fille et de sont petit amis dans les main et balayait la foule du regard.
Hank pensait:"Bordel ça pouvait pas être ailleurs que dans un centre commerciale...Pour trouver nos deux tourtereaux ça vas pas être facile..."
C'est à ce moment qu'il voit passé une adolescente en compagnie d'un jeune garçon capuche sur la tête et clope à la bouche,il regarde les photos...c'est bien eux.
Hank les suit sans se faire remarquer.il reste toujours à bonne distance des adolescents ni trop près ni trop loin.
"Quelle corvée..."
(HJ:J'ai le centre commerciale de Dead Rising en Tête XD, ptetre l'appareil photo qui fait ça XD(référence pour ceux qui connaissent))

Pendant plus d’une heure, le couple fit le tour du centre commercial. Ils s’arrêtèrent dans des boutiques, toutes de luxe, pour acheter des vêtements couteux que Saori payait toujours avec la carte bleue de son père. Ils s’arrêtèrent pendant une dizaine de minutes sur un banc, pour se reposer, et repartirent.

Ils quittèrent le centre commercial et s’engagèrent dans les rues de Kyoto avec une certaine assurance. A la première bouche de métro, ils descendirent dans la station et montèrent dans un wagon. Après plus d’une demi-heure de trajet et plusieurs changements de train, ils sortirent enfin à l’air libre.

C’était un quartier populaire et assez désert, ce qui rendait la filature plus compliquée. D’ailleurs, le jeune à la capuche, Tora, ne cessait de jeter des coups d’œil à droite et à gauche. Il paraissait attendre ou craindre quelque chose. Quoiqu’il en soit, il maintenait son bras autours de Saori qui parlait et parlait un grand sourire aux lèvres.

Guidé par son petit ami, la fille de mafieux se retrouva bientôt dans un dédalle de ruelles glauques, même à la lumière du jour. C’est quand ils furent dans un cul-de-sac que Tora parla pour la première fois depuis qu’ils avaient quittés le métro.

« Voila, Aniki[1] ! » cria-t-il à la cantonade.

Et sortant de nulle part, six hommes en costume, immanquablement yakuza, les encerclèrent. L’un deux, plus grand que les autres, ricana un instant avant de dire : « Dégage… »

Saori, les yeux écarquillés, vit Tora attraper les sacs de courses et s’enfuir dans les rues. Comme elle n’était pas stupide, elle se mit à lui hurler de rage dessus jusqu’à ce qu’un des hommes lui assène une gifle qui la fit tomber à genoux par terre.

« L’aniki » reprit la parole, en ouvrant sa ceinture, comme tous les autres : « Quand on auras terminés avec toi, ton père comprendra qu’on ne rigole pas avec nous. » Puis, il commença à déboutonner son pantalon.

Déjà, deux des hommes s’avançaient vers elle et la maintenaient au sol.

Indubitablement, s’il laissait faire ça, Hank était un homme mort.

[1= Aniki, grand frère, terme utilisé par les yakuza pour désigner un supérieur.]

[Moi, je pense à Zombis xD, le film qui a en partie inspiré Dead Rising]

Hank était fatigué par tout ce trajet et n'avait qu'une envie en terminer,rentrer,et fumer...accessoirement passer au bar du coin s'entamer un peut le cerveau...
Quand ils arrivèrent à bon port Hank sentit que ça allait mal tourner et ça il adorait...
il continuât de les suivres depuis les toits.
"C'est bizarre mais y'a comme un hic...ça sent la poudre..."
Il avait visé juste les six hommes sortirent à peine avait-il fini de penser sa phrase,
lorsqu'il vit les hommes déboutonner leurs pantalon il compris que si il ne faisait rien Saori allait passer un sale quart d'heure...et lui aussi par la même occasion.
Il dégaine son Berreta et vise l'entre jambe de ce qui semblait être le meneur de la bande.
"Allez sort ton engin mon gros tu vas tâter du mien..."
Aussitôt dit aussitôt fait il tire une balle qui envoi valser le bout de viande dans un coin de la ruelle, l'autre hurle de rage et de douleurs, il tire une balle dans la tête de deux autre membre des yakuza qui tombent morts sur le coup.
Les autres attrapent leurs chef et se mettent à couvert il saute du toit,attrape Saori par le bras et part se mettre à l'abris derrière un tas d'ordure.
Les Mafieux le canardent,il est touché au bras gauche mais ne s'en rend même pas compte...il à vécus bien pire...
une fois en "sureté" il lance à la jeune fille :"Salut moi c'est Hank pas la peine de te présenté j'connais déjà ton prénom."
"Bon j'vais m'occuper des trois autres et demis..."
Il serre sa grenade aveuglante dans la main gauche,dans la droite son pistolet l'indexe prêt à faire jouer la détente...

Saori n’avait rien compris, elle avait juste adressé une prière à ces dieux auxquels elle ne croyait pas d’ordinaire et puis « BAM », un tir de pistolet. Ca, elle savait ce que c’était.

L’aniki avait hurlé de douleurs, du sang avait giclé par terre. Elle ne comprit ce qui c’était passé que lorsqu’il tomba par terre et qu’un jet régulier commença à s’écouteur de ce qu’il essayait de comprimer avec ses mains.

Elle ne savait pas trop où il était blessé mais un jour son père, qui lui avait fait prendre des cours de tirs illégaux lui avait dit : « Tire dans l’intérieur de la cuisse de celui qui t’agresses, il se videra de son sang comme un porc et il mourra en même pas cinq secondes. » Et il avait rit.

Une larme roula sur sa joue, elle avait envie de vivre et de le revoir.

Mais pas le temps de s’apitoyer quelqu’un l’attrapa par le bras et la tira sans même qu’elle réagisse. Ce fut derrière un tas de poubelles à l’odeur vomitive qu’elle comprit que c’était celui qui l’avait sauvé.

Elle ne lui répondit même pas, elle s’était presque roulée en boule, étreignant ses genoux.

Il n’y eut plus de coup de feux pendant un temps dans la rue, on entendait juste les hurlements du chef, de plus en plus faible et puis plus rien. Il avait du mourir d’avoir perdu trop de sang.

Les deux derniers hommes étaient bien planqués derrières une vieille carcasse de voitures, impossible à toucher.

A ce moment là, étrangement, quelqu’un tira la manche de Hank. C’était Saori, de la rage dans les yeux.

« Donner moi une arme, je sais tirer. » murmura-t-elle.

Dans la famille Hosuko, la colère prenait vite la place du désespoir : « Ils ne s’attendent pas à ce que je tire. Si vous y aller de front, je peux les prendre à revers. »

Hank était surpris par cette jeune fille qui juste avant était presque en pleures et qui maintenant lui demande une arme.
Il réfléchi et tend son pistolet à Saori.
"T'a intérêt à savoir t'en servir..."
Il attrape une vieille barre de fer rouiller qui trainait dans le tas d'ordure.
"Bon, quand j'vais t'dire de tirer, tu me couvre et j'vais aller m'faire les deux autres glands...j'leurs balancerais une grenade aveuglante et j'ferais péter une fumigène ici pour qu'tu sois hors de leur chant d'vision."
Il tapote avec la barre de fer sur la paume de sa mains...il fait un décompte avec sa mains gauche et arrivé à zéro il jette la grenade fumigène à ses pieds et lance la grenade aveuglante derrière la carcasse de voiture et fonce dessus en brandissant sa barre de fer et en donnant le signal à Saori qui se met à canarder les deux futurs cadavres....Il arrive derrière ce reste de voiture et frappe violemment un des deux hommes encore aveuglé au cou...à en croire le bruit la nuque s'est brisée sur le coup.
Et alors que l'autre reprend ses esprits il se fais empaler par cette tige en métal qui lui déchire les entrailles et qui est maintenant planté dans le sol, il hurle de douleurs, c'est alors que Hank lui rentre le nez dans le crane d'un grand coup de pied en plein visage, l'homme convulse un petit moment et fini par succomber...

Derrière Hank, Saori baissa le bras qui avait tenu l’arme. Elle regarda béatement la main qui avait tirée, sur son visage, les larmes avaient déjà séchées.

Après quelques instants de silence, elle releva la tête vers Hank qu’elle fixa de ses yeux noirs étrangement brillant :
« Il faut que nous allions chez mon père, vite ! »

Elle ne doutait pas, ou plus, qu’Hank avait été embauché, d’une façon ou d’une autre, par son père. Et si l’idée même que son père, alors qu’il lui avait dit qu’il ne le ferait plus, la faisait suivre, était rageante, elle devait bien le remercier. Sans lui… Non, elle n’osait pas l’imaginer.

Elle s’avança et tendit l’arme à Hank. Puis lorsqu’il l’eut pris, elle se retourna et avança d’un pas vif vers la sortie de la ruelle. Saori avait hérité du caractère dur de son père, derrière cette façade d’insouciance, et il était surtout présent lorsqu’elle essuyait de graves affronts. Savoir que son petit-ami l’avait vendu était une des choses qui révélait son côté fourbe.

Lorsqu’elle fut près de la rue, elle sortit son cellulaire et entra en grand discussion avec quelqu’un, en ayant parfois des airs de petite fille capricieuse. Puis, elle se retourna vers Hank et lui dit : « Notre chauffeur va venir. »

En effet, une demi-heure plus tard, une grosse berline noire s’arrêta en face de notre duo. Lorsqu’ils furent tous les deux dedans, l’asiatique entre deux âges qui conduisait dit :
« Votre père est dans une rage folle. »

Saori ne répondit pas et l’homme ne dit rien d’autre. Dans un silence total, ils roulèrent pendant une autre demi-heure jusqu’à se garer en face d’une grande propriété d’un style tout à fait nippon, après avoir passé un portail gardé par un homme en costume.

La jeune fille sortit et indiqua à Hank de la suivre. Après avoir enlevé leurs chaussures et guidés par le chauffeur, ils arrivèrent devant une porte coulissante.

« Monsieur, votre fille est ici. » dit le chauffeur.

« Qu’elle entre. » répondu la voix sans éclat d’un homme.

A l’intérieur de la pièce, assis devant une table basse, un homme en costume gris, portant une fine moustache et une paire de lunette, buvait le thé qu’une femme en kimono à côté de lui, son épouse sans doute, versait dans plusieurs tasses.

L’homme, assez âgé, était facilement identifiable, c’était l’un des plus grands parrains du Japon : Boss Hosuko. A côté de lui, avec ses allures distingués, sa femme était aussi connue pour avoir, dans sa jeunesse, empoisonnés et égorgés une grande partie des adversaires de son mari.

Les yeux aussi noirs que ceux de sa fille de Boss Hosuko se posèrent sur Hank, qu’il jugea du regard, puis sur sa fille, à qui il dit d’un ton qui n’acceptait aucune remarque : « Dans ta chambre. »

Puis, il s’adressa à Hank, désignant de la main une place, en face de lui :
« Asseyez-vous, je vous prie. Prenez donc une tasse de thé et racontez-moi ce dans quoi mon idiote de fille s’est encore fourrée. »

Hank s'assit enleva le bonnet qu'il avait sur la tête mais refusa poliment la tasse de thé, il chercha cependant si de l'alcool était à proximité mais abandonna sa recherche quand Le Boss Hosuko lui demanda des précisions sur ce qui s'était passé.
"Bien...il me semblerai que Saori à été pris pour cible pour une quelconque vengeance sur votre famille...du moins c'est c'que j'ai compris...y'en à un qui a dit "Ton père comprendra qu'on rigole pas avec nous"...c'est tout c'que j'peu dire...j'en sais pas plus."
Il se demandait pourquoi on l'avait fait venir ici, non seulement il était déjà loin du dojo tout à l'heure mais là il se demande si il aura le courage de rentrer ce soir...
"Et pourquoi on m'a fait venir ici...?

La femme d’Hosuko plissa légèrement les yeux lorsqu’Hank déclina l’offre de son époux de boire du thé, puis, sans un mot, elle alla s’assoir à côté de son mari. Néanmoins, c’est elle qui répondit ensuite :
« Si nous voulions que vous soyez ici, c’est que vous deviez l’être, sans poser de question. »

Son mari eut un petit sourire et continua, la voix dure mais toujours moins que celle de sa femme : « En réalité, vous êtes ici car vous êtes payé pour faire ce que je veux. »

Il se pencha, attrapa une des tasses et but une gorgé de thé.

« Je pensais bien que ce petit effronté qui se croyait digne de ma fille cachait quelque chose, ce que vous racontez le confirme, alors j’ai fait ce que chacun se doit de faire un jour, le compte de ses ennemis. »

Il reposa la tasse dans un bruit de porcelaine qui était assez désagréable.

« Malgré ce que l’on croit, la liste est courte car il faut enlever de ceux qui vous détestent ceux qui ne seraient pas capable d’imaginer un scénario aussi fourbe. »

Il leva la main et fit un geste de l’index. Un homme en yukata qui attendait assis dans le fond de la pièce se leva, il ouvrit une porte coulissante, disparu et revint quelques secondes plus tard en trainant quelque chose.

Quelque chose qui, à la lumière de la pièce où ils se trouvaient, s’avérât être Tora, le « petit ami » de Saori. On avait rabattu la capuche qu’il portait sur la tête et du fait, on pouvait facilement voir quel genre de traitement il avait subit. C’était sans doute la cigarette qu’il fumait qui avait servit à faire ces cloques sur son visage. Ses paupières violacées étaient enflées, sa lèvre inférieur tuméfiée, du sang coulait encore de son arcade sourcilière gauche.

On le traina près de Boss Hosuko et on le jeta par terre, il ne bougea pas. C’est l’homme en yukata qui le souleva par le col pour le maintenir dans un semblant de conscience.

« Cette larve qui est là m’a confirmé dans ma supposition. »

Les yeux toujours fixés sur Hank, Hosuko sortit de l’intérieur de sa veste un petit couteau papillon argenté.

« Vous allez me rendre un dernier service. » Il l’ouvrit d’un coup sec, dévoilant une lame qui ne devait pas en être à sa première utilisation. « Vous allez déposer un colis encombrant pour moi. »

Les époux Hosuko se levèrent d’un coup. « Vous ferez aussi un peu de ménage. »

Et d’un geste du bras, aussi agile qu’un jeune mais bien plus rapide, Hosuko planta son couteau dans la gorge de Tora qui eut, malgré son état, un cri de douleur qui se perdit en gargouillement incompréhensible. Le coup avait été sûr et la lame était enfoncé jusqu’à la garde, il la retira d’un coup sec, l’essuya sur les vêtements du garçon et la rangea dans sa veste.

L’homme de main ne laissa pas tomber le cadavre, il commença à le trainer, jetant un regard vers Hank pour qu’il le suive. Dehors, il chargea le cadavre dans le coffre d’une voiture avec laquelle il conduisit le ninja dans Kyoto. Il l’emmena sans prononcer un seul mot dans une partie faîtes de restaurant et de bars miteux de la ville, il commençait à faire nuit et une partie de la population se dévidait dans les rues.

Il gara la voiture, ouvrit le coffre et tira le mort par terre. Il regarda ensuite Hank et montra d’un signe de tête un club. Puis, il remonta dans la voiture.

Il ne restait plus à Hank qu’à nettoyer la vermine.

Hank aurait bien voulus protester mais il savait qu'il n'avait pas le choix...Il fouilla le cadavre de Tora il cherchait si ils lui avait laisser son cran d'arrêt mais rien...Bilan materiel pour Hank un chargeur et demis et ses mains pour faire un carnage...c'était tout à fait dans les cordes jeune homme.
Il roule,allume et se présente devant l'entrée du club. Un videurs l'arrête, un grand homme, musclé,crane rasé, le stéréotype du videur,il lui fait savoir que l'entrée n'est pas réservée à n'importe qui : "Dégage merdeux!"
Hank répondit à son altercation par un magistral coup de pied dans le plexus, puis acheva de le mettre hors d'état de nuire en lui enfonçant les pouces dans les orbites...
Il pousse la porte du club pendant que le videur aveugle agonise à l'entrée,Hank est prêt à dégainer à tout moment, sa main droite est sur son arme,l'indexe sur la détente...
Il entre...

C’était un club construit tout en rond. L’intérieur décoré dans un style rétro-pop était occupé par des tables rondes et des podiums où dansaient quelques filles. A cette heure là, la lumière n’était pas baissée et il n’y avait pas encore de musique. Heureusement pour Hank, il n’y avait pas de public non plus.

Quand Hank entra, un homme près de lui se leva de sa table, il n’était pas très imposant mais le colt à sa ceinture était assez pour tenir en respect une partie des gens.

« Hey, t’es qui toi ? Bouffon ! »

Dans le club, quelques uns tournèrent la tête mais la plus part planaient tranquillement. Il était facile de voir les lignes de poudre blanche sur les tables.

A peine avait-il fini sa phrase que Hank tira un coup à travers sa veste...La balle s'était logé entre les deux yeux de sa cible...à ce moment là il repéra un des hommes avec un Katana...
Une aubaine pour Hank, il s'avérait qu'il avait appris à arrêter les balles avec les armes blanches...
Il se précipita sur lui et à main nues lui arracha la tête qu'il envoya ensuite sur l'un des hommes, il attrapa le sabre de la main droite et se servit du corps de son ancien propriétaire comme bouclier...
Il les avait compter, plus que 16 autres clampins à abattre et le ménage était fait...
Il avança vers uns des hommes le corps de l'autre couvrant son flan droit il parait les tirs de sa prochaine victime...
arrivé à distance il coupa le yakuza en deux au niveau de la cage thoracique...
il se saisi de son arme, un 357 Magnum, de quoi faire des trous de la taille d'un choux fleur dans un corps humain...
Il acheva le reste de la bande à coup de sabres et de tires en pleine tête...
le dernier eu le droit à la crosse du révolver encastrée dans le crane...
Hank repéra des sacs de Cocaïne, il se dit que ça pourrait être de l'argent facile à faire et se dirigea vers la sortie la cocaine dans un sac à dos qu'il tennait dans la main gauche...


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Devant la porte attendait un autre japonais avec un casque de moto dans une main et une cigarette dans l’autre.

Il n’avait pas l’air agressif, il ne faisait que fumer simplement, l’air pensif. Quand il vit Hank sortir du club, il jeta sa cigarette qu’il écrasa du bout des pieds. Avec un sourire forcé, il s’approcha du jeune homme et comme tout bon japonais s’inclina et sortit une carte de visite blanche.

Dessus, un simple numéro de téléphone. Après qu’Hank l’eut pris, il se releva et jeta un coup d’œil à la « marchandise ».

« Gardez-ça en supplément de paiement. »

Et puis, il enfila son casque, sortit une paire de gants de la poche de sa veste et enfourcha une moto garé à quelques pas de là. Il démarra sans un regard pour le club et disparu dans la circulation.

[ Mission terminée !
Tu as le droit de poster où tu veux, quand tu veux, ce que tu veux xD ! ]